Accidents de la vie
Brûlure, coupure, fracture, hydrocution, blessures, noyade, étouffement, intoxications, beaucoup d’entre eux sont domestiques, mais ils peuvent aussi provenir d’une agression subie.
L’accident de la vie courante se définit par un traumatisme non intentionnel subi par une personne, accident qui ne rentre pas dans la catégorie accident de la route ou accident du travail. La plupart se terminent aux urgences, et les anticiper en ayant une bonne couverture d’assurance permet de réduire les frais et coûts qu’ils engendrent. Les AcVC comme ils sont nommés, correspondent aux accidents survenant très souvent au domicile, mais aussi sur les aires de sports ou de loisirs, dans les stades, lors de l’entraînement sportif des enfants, à l’école. Ne sont pas considérés comme accidents de la vie, les accidents de la circulation, du travail, et les accidents causés par des éléments naturels, de même que les suicides et les agressions.
Si les actions de prévention, dans tous les domaines, noyades, dangers électriques, premiers secours et les mesures législatives ont permis de sensibiliser les particuliers et de faire baisser de façon significative les décès dus aux AcVC, ce type d’accident constitue tout de même un pourcentage cinq fois plus important que ceux causés par les accidents de la route, et vingt fois plus que les décès dus aux accidents du travail.
Les accidents de la vie courante touchent tous les milieux et toutes les tranches d’âges, mais plus particulièrement les enfants de moins de 15 ans et les personnes de plus de 65 ans de par leur vulnérabilité naturelle.
En plus des assurances souscrites, l’information et la prévention doivent intervenir pour continuer à encadrer ce type de risque de manière à le voir de plus en plus diminuer.